Le problème du « temps » ne se limite pas chez Kant à l'« exposition » d'une Esthétique transcendantale ni, comme le montre l'architectonique des temporalités, au seul « schématisme » de l'entendement pur. Mais si le « temps » surgit comme « liberté », son essence est nécessairement « pratique ». L'existence de l'homme, saisie à ce niveau d'une cooriginarité transcendantale de la « liberté » et du « temps », peut alors être comprise en sa dimension « morale »...
Le problème du « temps » ne se limite pas chez Kant à l'« exposition » d'une Esthétique transcendantale ni, comme le montre l'architectonique des temporalités, au seul « schématisme » de l'entendement pur. Mais si le « temps » surgit comme « liberté », son essence est nécessairement « pratique ». L'existence de l'homme, saisie à ce niveau d'une cooriginarité transcendantale de la « liberté » et du « temps », peut alors être comprise en sa dimension « morale »...