Entre 1850 et 1851, Marinoni va participer aux premiers essais de la rotative à bobine et à clichés cylindriques de Jacob Worms pour la presse périodique, à la demande du patron de presse Emile de Girardin. A partir de 1866, Marinoni, marchant sur les pas de Girardin, s'oppose à la tradition anglo-saxonne de la rotative avec caractères mobiles. En novembre 1872, il livre la première "machine cylindrique à papier continu" de France pour la presse quotidienne. A partir de 1882, Marinoni prend la tête du Petit Journal et en fait le premier groupe mondial de presse, en s'efforçant d'intéresser le plus grand nombre aux questions d'intérêt général, aux enjeux de la Revanche et aux valeurs de la III° République.
Entre 1850 et 1851, Marinoni va participer aux premiers essais de la rotative à bobine et à clichés cylindriques de Jacob Worms pour la presse périodique, à la demande du patron de presse Emile de Girardin. A partir de 1866, Marinoni, marchant sur les pas de Girardin, s'oppose à la tradition anglo-saxonne de la rotative avec caractères mobiles. En novembre 1872, il livre la première "machine cylindrique à papier continu" de France pour la presse quotidienne. A partir de 1882, Marinoni prend la tête du Petit Journal et en fait le premier groupe mondial de presse, en s'efforçant d'intéresser le plus grand nombre aux questions d'intérêt général, aux enjeux de la Revanche et aux valeurs de la III° République.
Entre 1850 et 1851, Marinoni va participer aux premiers essais de la rotative à bobine et à clichés cylindriques de Jacob Worms pour la presse périodique, à la demande du patron de presse Emile de Girardin. A partir de 1866, Marinoni, marchant sur les pas de Girardin, s'oppose à la tradition anglo-saxonne de la rotative avec caractères mobiles. En novembre 1872, il livre la première "machine cylindrique à papier continu" de France pour la presse quotidienne. A partir de 1882, Marinoni prend la tête du Petit Journal et en fait le premier groupe mondial de presse, en s'efforçant d'intéresser le plus grand nombre aux questions d'intérêt général, aux enjeux de la Revanche et aux valeurs de la III° République.
Entre 1850 et 1851, Marinoni va participer aux premiers essais de la rotative à bobine et à clichés cylindriques de Jacob Worms pour la presse périodique, à la demande du patron de presse Emile de Girardin. A partir de 1866, Marinoni, marchant sur les pas de Girardin, s'oppose à la tradition anglo-saxonne de la rotative avec caractères mobiles. En novembre 1872, il livre la première "machine cylindrique à papier continu" de France pour la presse quotidienne. A partir de 1882, Marinoni prend la tête du Petit Journal et en fait le premier groupe mondial de presse, en s'efforçant d'intéresser le plus grand nombre aux questions d'intérêt général, aux enjeux de la Revanche et aux valeurs de la III° République.