Entre 1941 et 1943, Rossellini a réalisé trois films pour la propagande fasciste. Mais il les a fait suivre, à la fin de la guerre, par trois autres films qui honorent le combat de la résistance italienne, et dénoncent les méfaits du nazisme. Une étude qui révèle un personnage contradictoire, fascinant, et qui permet, en filigrane, de voir apparaître cette Italie qui s'est globalement accommodée du fascisme, avant de prendre conscience des conséquences tragiques du totalitarisme et de la guerre.
Entre 1941 et 1943, Rossellini a réalisé trois films pour la propagande fasciste. Mais il les a fait suivre, à la fin de la guerre, par trois autres films qui honorent le combat de la résistance italienne, et dénoncent les méfaits du nazisme. Une étude qui révèle un personnage contradictoire, fascinant, et qui permet, en filigrane, de voir apparaître cette Italie qui s'est globalement accommodée du fascisme, avant de prendre conscience des conséquences tragiques du totalitarisme et de la guerre.