"Les gars, est-ce qu'on va rester les bras croisés ?" C'est par cette interrogation quasi-existentielle que le noyau dur de ce qui deviendra "Y'en a marre", a décidé de se bouger. "Y'en a marre" décide de sonner la charge contre toute forme de démission. Dans un même élan, jeunes cadres, étudiants, ouvriers, retraités, chômeurs se sont identifiés au coup de gueule de "Y'en a marre". Un mouvement qui, à coup sûr, a contribué à bousculer le jeu politique sénégalais.
"Les gars, est-ce qu'on va rester les bras croisés ?" C'est par cette interrogation quasi-existentielle que le noyau dur de ce qui deviendra "Y'en a marre", a décidé de se bouger. "Y'en a marre" décide de sonner la charge contre toute forme de démission. Dans un même élan, jeunes cadres, étudiants, ouvriers, retraités, chômeurs se sont identifiés au coup de gueule de "Y'en a marre". Un mouvement qui, à coup sûr, a contribué à bousculer le jeu politique sénégalais.