L'auteur tente ici de combattre les platitudes des modernistes qui ont empoussiéré l'art littéraire poétique. C'est à tort que le poème est jeté en pâture et en désuétude aux rêveries insipides. Il exerce un aiguisement à la conscience dont l'homme aujourd'hui s'échappe par une triste complaisance de surface. L'homme moderne est poétiquement froid. Si cette « mort » semble tristement une conjoncture de notre vie modernisée, il y a encore des âmes humaines pures qui sentent le bruit.
L'auteur tente ici de combattre les platitudes des modernistes qui ont empoussiéré l'art littéraire poétique. C'est à tort que le poème est jeté en pâture et en désuétude aux rêveries insipides. Il exerce un aiguisement à la conscience dont l'homme aujourd'hui s'échappe par une triste complaisance de surface. L'homme moderne est poétiquement froid. Si cette « mort » semble tristement une conjoncture de notre vie modernisée, il y a encore des âmes humaines pures qui sentent le bruit.