"J'écrivais à Pierre-Marie Hasse seulement quand j'avais quelque chose à partager avec lui : une observation, une réflexion, une joie, une colère, une lecture. A vrai dire, c'est plutôt ma distance du féminin qui m'a poussée à écrire ces lettres. Je ne suis pas une féministe. Ni une activiste. Ni une passionnée des questions de femme"...
"J'écrivais à Pierre-Marie Hasse seulement quand j'avais quelque chose à partager avec lui : une observation, une réflexion, une joie, une colère, une lecture. A vrai dire, c'est plutôt ma distance du féminin qui m'a poussée à écrire ces lettres. Je ne suis pas une féministe. Ni une activiste. Ni une passionnée des questions de femme"...
