Zingobi, planétoïde où transmuent les ombres de la mort et de la vie. L'ombre, particule d'être insaisissable, serait-elle la seule mémoire des choses vécues ? Ombre, mot que Hoda Adib traque, saisit, à la manière du chef d'orchestre ponctuant la partition de l'oeuvre qu'il dirige, comme un torrent où les mots roulent, se heurtent, s'ignorent et se retrouvent, eurythmie, arythmie, chocs et percussions. La violence du désir de calme et de volupté marque la lecture de son poème.
Zingobi, planétoïde où transmuent les ombres de la mort et de la vie. L'ombre, particule d'être insaisissable, serait-elle la seule mémoire des choses vécues ? Ombre, mot que Hoda Adib traque, saisit, à la manière du chef d'orchestre ponctuant la partition de l'oeuvre qu'il dirige, comme un torrent où les mots roulent, se heurtent, s'ignorent et se retrouvent, eurythmie, arythmie, chocs et percussions. La violence du désir de calme et de volupté marque la lecture de son poème.