S'il y a du Baudelaire, c'est à Geoffroy de Vinsauf, grammairien anglais qui publie en 1210 "Poetria nova", que j' "L" emprunte, les textes à Homère, à Xénophon, à Virgile, à Lewis Carrol, sous les augures génériques de Lycophron, car il y est question : d'imitations, de translations, de transformations, de compressions spatiales, de dérivations temporelles, de cristallisations oniriques, de crédit-illustrations & de réflexions glissées, croisées, tissées des autres, des résumés, des condensés, d'abrégés, de précipités, de comprimés...
S'il y a du Baudelaire, c'est à Geoffroy de Vinsauf, grammairien anglais qui publie en 1210 "Poetria nova", que j' "L" emprunte, les textes à Homère, à Xénophon, à Virgile, à Lewis Carrol, sous les augures génériques de Lycophron, car il y est question : d'imitations, de translations, de transformations, de compressions spatiales, de dérivations temporelles, de cristallisations oniriques, de crédit-illustrations & de réflexions glissées, croisées, tissées des autres, des résumés, des condensés, d'abrégés, de précipités, de comprimés...