Exclus de la société des "gens de bien", de malveillantes rumeurs leur valant mauvaise renommée, nombreux furent celles et ceux qui montèrent au bûcher en réparation de dégâts liés aux caprices du temps ou de morts d'hommes victimes de fièvres endémiques ou de maladies incurables. Ignorance, superstition et perfidie leur avaient valu l'accusation d'en être les auteurs. A partir d'un travail sur archives locales, l'auteur lève le voile sur un passé bien peu et mal connu.
Exclus de la société des "gens de bien", de malveillantes rumeurs leur valant mauvaise renommée, nombreux furent celles et ceux qui montèrent au bûcher en réparation de dégâts liés aux caprices du temps ou de morts d'hommes victimes de fièvres endémiques ou de maladies incurables. Ignorance, superstition et perfidie leur avaient valu l'accusation d'en être les auteurs. A partir d'un travail sur archives locales, l'auteur lève le voile sur un passé bien peu et mal connu.
