Les poèmes de « Ferrements » reflètent une période particulièrement fertile en événements pour Césaire et nous montrent sa pratique poétique personnelle, avec ses accès de fureur, de douleur ou de douceur, enrobés de métaphores fulgurantes, qui en masquent l'huis ténu, quasi invisible. Culminant sur les sommets d'une langue qui n'est qu'à lui, abrupte et splendide, Césaire demeure ce poète « difficile », mais d'une richesse inégalée, irremplaçable dans la littérature négro-africaine et antillaise.
Les poèmes de « Ferrements » reflètent une période particulièrement fertile en événements pour Césaire et nous montrent sa pratique poétique personnelle, avec ses accès de fureur, de douleur ou de douceur, enrobés de métaphores fulgurantes, qui en masquent l'huis ténu, quasi invisible. Culminant sur les sommets d'une langue qui n'est qu'à lui, abrupte et splendide, Césaire demeure ce poète « difficile », mais d'une richesse inégalée, irremplaçable dans la littérature négro-africaine et antillaise.