A partir de 1900, sur les débris d'un anthropocentrisme pluriséculaire, naquit un homme nouveau, dont le corps n'était plus considéré comme l'enveloppe de l'âme mais était interrogé pour lui-même, dans sa complexité, dans sa vulnérabilité, et surtout dans sa susceptibilité à interagir avec les nouvelles techniques. C'est dans ce contexte que le critique d'art Roberto Longhi lança la formule " homo orthopedicus ". Cet ouvrage explore cette problématique épineuse du corps et de ses prothèses.
A partir de 1900, sur les débris d'un anthropocentrisme pluriséculaire, naquit un homme nouveau, dont le corps n'était plus considéré comme l'enveloppe de l'âme mais était interrogé pour lui-même, dans sa complexité, dans sa vulnérabilité, et surtout dans sa susceptibilité à interagir avec les nouvelles techniques. C'est dans ce contexte que le critique d'art Roberto Longhi lança la formule " homo orthopedicus ". Cet ouvrage explore cette problématique épineuse du corps et de ses prothèses.