Des historiens polonais et français ont constitué un groupe de travail sur la connaissance historique, attentif d'abord à son écriture et à son enseignement mais aussi à ses multiples formes de présence dans le discours social, depuis les savoirs les plus intellectuellement distancés jusqu'aux mémoires les plus affectives ou les plus instrumentalisées.
Des historiens polonais et français ont constitué un groupe de travail sur la connaissance historique, attentif d'abord à son écriture et à son enseignement mais aussi à ses multiples formes de présence dans le discours social, depuis les savoirs les plus intellectuellement distancés jusqu'aux mémoires les plus affectives ou les plus instrumentalisées.