Ce numéro revient sur la crise des frontières d'Etat amorcée avec la vague de contestation populaire arabe en 2011 et la multiplication des conflits qui a suivi, à l'origine d'un processus de dislocation territoriale et d'une déstabilisation généralisée. Le parti pris n'est pas d'aborder la frontière sous l'angle de ses pratiques, de son contrôle ou de sa gestion sécuritaire, mais d'examiner les modes actuels d'administration territoriale, les représentations qui les sous-tendent et les processus de remodelage à l'oeuvre sur le court et le long terme.
Ce numéro revient sur la crise des frontières d'Etat amorcée avec la vague de contestation populaire arabe en 2011 et la multiplication des conflits qui a suivi, à l'origine d'un processus de dislocation territoriale et d'une déstabilisation généralisée. Le parti pris n'est pas d'aborder la frontière sous l'angle de ses pratiques, de son contrôle ou de sa gestion sécuritaire, mais d'examiner les modes actuels d'administration territoriale, les représentations qui les sous-tendent et les processus de remodelage à l'oeuvre sur le court et le long terme.