Dans la mythique d'Aldjezar, le chemin des Aqueducs garde la trace de la présence turque en Méditerranée, conjuguée à l'action coloniale. Le narrateur jette un long regard en arrière et, parcourant inlassablement l'itinéraire des collines ou le dédale des venelles, revit, en une succession d'aventures qui correspondent aux divers âges -enfant, adolescent, adulte…-, l'existence de la ville chérie et irrémédiablement perdue, victime de la guerre et du mauvais ?"il.
Dans la mythique d'Aldjezar, le chemin des Aqueducs garde la trace de la présence turque en Méditerranée, conjuguée à l'action coloniale. Le narrateur jette un long regard en arrière et, parcourant inlassablement l'itinéraire des collines ou le dédale des venelles, revit, en une succession d'aventures qui correspondent aux divers âges -enfant, adolescent, adulte…-, l'existence de la ville chérie et irrémédiablement perdue, victime de la guerre et du mauvais ?"il.