Les trois réels de la langue, de la jouissance et du sujet sont répartis par le fantasme alors qu'ils sont confondus dans la psychose où ils produisent ce que Lacan nomme " bruit ". Dans la rencontre avec la psychose, ce concept offre la cohérence d'une explication. Ailleurs, dans toute cure, la proximité du réel fait advenir la part d'intime où se loge la créativité, à la manière de la réserve que désigne Guillaume Apollinaire : " J'ai tout donné au soleil, tout sauf mon ombre ".
Les trois réels de la langue, de la jouissance et du sujet sont répartis par le fantasme alors qu'ils sont confondus dans la psychose où ils produisent ce que Lacan nomme " bruit ". Dans la rencontre avec la psychose, ce concept offre la cohérence d'une explication. Ailleurs, dans toute cure, la proximité du réel fait advenir la part d'intime où se loge la créativité, à la manière de la réserve que désigne Guillaume Apollinaire : " J'ai tout donné au soleil, tout sauf mon ombre ".