La projection de la conscience en arrière d'elle-même converge chez la plupart des écrivains maghrébins dans l'univers authentique du souvenir et fait pressentir un mouvement de contraste global devant la production de la fiction littéraire. Dans ce contexte archaïque où la culture se nourrit de calligraphie sacrée et de mémorisation, toute tentative d'écriture littéraire porte en elle l'ambivalence de la récitation et de l'imagination. L'auteur montre ici qu'en refusant globalement la littérature de fiction, la religion semble dire que l'invention par l'imaginaire est un acte qui peut subvertir par la sublimation et l'exaltation de nouveaux idéaux.
La projection de la conscience en arrière d'elle-même converge chez la plupart des écrivains maghrébins dans l'univers authentique du souvenir et fait pressentir un mouvement de contraste global devant la production de la fiction littéraire. Dans ce contexte archaïque où la culture se nourrit de calligraphie sacrée et de mémorisation, toute tentative d'écriture littéraire porte en elle l'ambivalence de la récitation et de l'imagination. L'auteur montre ici qu'en refusant globalement la littérature de fiction, la religion semble dire que l'invention par l'imaginaire est un acte qui peut subvertir par la sublimation et l'exaltation de nouveaux idéaux.