Alexandre Sokourov, dont les films nous sont enfin parvenus à la faveur de la perestroïka après dix ans de censure, n'a pas arrêté de tourner depuis la fin des années 70. Son oeuvre complexe, immense, a attiré tour à tour la curiosité, la faveur et l'exaspération critiques. Les sorties plus récentes (Pages cachées, Mère et fils, L'Arche russe)ont confirmé la présence intrigante de ce rénovateur de formes filmiques sur la scène cinématographique internationale.
Alexandre Sokourov, dont les films nous sont enfin parvenus à la faveur de la perestroïka après dix ans de censure, n'a pas arrêté de tourner depuis la fin des années 70. Son oeuvre complexe, immense, a attiré tour à tour la curiosité, la faveur et l'exaspération critiques. Les sorties plus récentes (Pages cachées, Mère et fils, L'Arche russe)ont confirmé la présence intrigante de ce rénovateur de formes filmiques sur la scène cinématographique internationale.