Guerre et paix autour de la prostitution en tant que fatalité
Après avoir été approchée par une compagnie de théâtre, Véronique Côté se lance dans l’écriture d’une pièce sur la prostitution, La paix des femmes. Au cours de ses recherches, elle découvre l’existence de deux camps irréconciliables: d’un côté, les pro-tds, pour «pro-travail du sexe», de l’autre, les abolitionnistes. Alors que les premières militent pour la décriminalisation de la prostitution, les secondes cherchent à l’éliminer. C’est comme femme et comme artiste que Véronique Côté prend ici la parole, accompagnée de Martine B. Côté, pour dénoncer cette idée qui veut que «ça a toujours existé, et ça existera toujours». Elles écrivent pour les femmes et contre le système qui les exploite..