Dans son second recueil de poésie après le remarqué "Déjà la horde de chair se tait", Ariane Audet aborde avec l’éclair de son intelligence le lien entre maternité et maladie mentale. Dans une langue qui ne craint pas le lyrisme, elle aborde avec précision des zones peu arpentées en poésie. Féminisme et expérimentation formelle se conjuguent pour créer des images exigeantes, entêtantes, magnifiques.