À 18 ans, François Avard commençait L'Esprit de bottine, son 216e roman, mais le premier à être terminé puis publié.
Les prémices de l'écriture avardienne - un style cabochon où se mélangent humour candide, simplicité et réalité crue - naissaient sous les traits de François Bruyand. Ce jeune adulte a 19 ans depuis bientôt trois ans, et décide d'entreprendre l'écriture d'un roman pour occuper ses dix doigts...
L'Esprit de bottine est le reportage en direct d'une « adulescence » qui s'attarde dans une zone mortelle où plusieurs s'égarent, celle entre le cégep et le début d'une carrière quelconque, au moment où l'esprit n'a pas fini de se bâtir.
À 18 ans, François Avard commençait L'Esprit de bottine, son 216e roman, mais le premier à être terminé puis publié.
Les prémices de l'écriture avardienne - un style cabochon où se mélangent humour candide, simplicité et réalité crue - naissaient sous les traits de François Bruyand. Ce jeune adulte a 19 ans depuis bientôt trois ans, et décide d'entreprendre l'écriture d'un roman pour occuper ses dix doigts...
L'Esprit de bottine est le reportage en direct d'une « adulescence » qui s'attarde dans une zone mortelle où plusieurs s'égarent, celle entre le cégep et le début d'une carrière quelconque, au moment où l'esprit n'a pas fini de se bâtir.