« Une semaine est passe´e, et je n’arrivais plus a` reprendre pied. Je me sentais couler, attire´ par le vide sous moi. Je prenais une bouffe´e d’air de temps en temps, pour ne pas sombrer davantage. Les me^mes deux mots s’enchai^naient en boucle dans mon cerveau : truite, grenouille, truite, grenouille, truite... un duo d’habitants des eaux ou` je me noyais. J’e´tais un terrien, j’avais besoin de solide, d’un univers tangible. ».