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ISBN9782890926448
ÉditeurBÉLIVEAU EDITEUR
Format-
SectionFaits vécus, récits et témoignages
Parution2014-02-11
Collection-

Récit d'un séjour au Cameroun

Par Chapleau, Jean

  • 7,99$ /unité
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Code
No. fourn.
Format En stock Quantité
(9782890926448)
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Description

Lorsque l'avion a posé ses roues sur le tarmac de l'aéroport de Douala, mon cœur a failli s'arrêter. J'allais fouler le sol de l'Afrique, plus particulièrement au Cameroun, à un âge où la langueur de la retraite aurait dû me retrouver assis en douce rêverie. Pourtant, j'entreprenais un séjour de neuf semaines, dans un petit patelin, en accompagnant des stagiaires. Durant ce séjour, je côtoierai des personnes qui doivent se battre quotidiennement pour se nourrir, en travaillant aux champs, en allant chercher de l'eau parfois loin de chez eux et qui garderont tout de même une joie de vivre. Je serai bousculé dans mes valeurs et dans mon mode de vie nord-américain, où la notion de bonheur et de bien-être est associée à nos avoirs. En voyant les habitants du village se satisfaire du minimum, je me suis posé régulièrement la question: «Combien me faut-il pour être heureux?» Depuis mon retour, j'ai le sentiment qu'une partie de moi est devenue «africaine». II est maintenant impossible de sortir l'Afrique de moi ...

Lorsque l'avion a posé ses roues sur le tarmac de l'aéroport de Douala, mon cœur a failli s'arrêter. J'allais fouler le sol de l'Afrique, plus particulièrement au Cameroun, à un âge où la langueur de la retraite aurait dû me retrouver assis en douce rêverie. Pourtant, j'entreprenais un séjour de neuf semaines, dans un petit patelin, en accompagnant des stagiaires. Durant ce séjour, je côtoierai des personnes qui doivent se battre quotidiennement pour se nourrir, en travaillant aux champs, en allant chercher de l'eau parfois loin de chez eux et qui garderont tout de même une joie de vivre. Je serai bousculé dans mes valeurs et dans mon mode de vie nord-américain, où la notion de bonheur et de bien-être est associée à nos avoirs. En voyant les habitants du village se satisfaire du minimum, je me suis posé régulièrement la question: «Combien me faut-il pour être heureux?» Depuis mon retour, j'ai le sentiment qu'une partie de moi est devenue «africaine». II est maintenant impossible de sortir l'Afrique de moi ...

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