« C'est donc d'abord Antonine Maillet, la conteuse, qui ose ici pour la première fois le " je " de l'intimité, même si elle s'était " juré de ne jamais entrer elle-même dans la galerie de ses créatures ". Au programme : un chapelet de confidences, d'anecdotes jamais anecdotiques et de réflexions offertes avec un mélange de stupéfaction devant le vaste portrait de tout ce qu'elle a vécu et de tendresse pour ceux qu'elle a aimés. Son principal acolyte : le Temps, auquel elle accorde une majuscule non seulement par coquetterie, mais parce qu'elle lui parle au quotidien. ». - Dominic Tardif, Le Devoir.