« Huit heures du matin, c’est l’heure du lever. Quelques instants après, c’est
le p’tit déjeuner. Lorsque tu as fini, on te fait ta toilette. Tu n’aimes pas
montrer ta maigre silhouette. Quand sonne le midi, on t’apporte à manger.
Pour toi, le préposé allume la télé. Tous les jours, c’est comm’ça, depuis
que tu es là. Depuis que tu ne pouvais plus vivre chez toi. Entretemps, c’est
le temps, le temps qui prend son temps. Trop longtemps prend le temps à
rester au présent… »
Et ainsi va la vie au Pavillon de la Petite Rivière, un centre d’hébergement
et de soins de longue durée (« CHSLD ») où plusieurs pensionnaires sont
là pour y terminer leur existence. Alzheimer, Parkinson, AVC, démence
mixte… des mots effrayants auxquels ils doivent tous apprendre à se
soumettre. Mais s’ils ont la mémoire à la dérive, ils ne sont pas pour
autant dépourvus de sentiments et, remplis de tristesse, ils ont tous
la féroce envie de dire à ce cher bon Dieu que son grand ciel bleu n’a
finalement rien de rose !
C’est avec compassion, tendresse et une touche d’humour que l’auteur
nous transporte dans un monde vivant presque en vase clos, là où
pourtant tous ont encore et toujours des choses à dire et de l’amour à
partager. Là où les membres du personnel tout comme les résidents et
leurs familles doivent impérativement savoir cohabiter dans la confiance
et le respect. L’amour, l’amitié, la survie et le deuil sont parmi les grands
thèmes abordés dans ce récit, tout comme le rôle rédempteur de l’art,
de l’écriture… et du bingo !
« Huit heures du matin, c’est l’heure du lever. Quelques instants après, c’est
le p’tit déjeuner. Lorsque tu as fini, on te fait ta toilette. Tu n’aimes pas
montrer ta maigre silhouette. Quand sonne le midi, on t’apporte à manger.
Pour toi, le préposé allume la télé. Tous les jours, c’est comm’ça, depuis
que tu es là. Depuis que tu ne pouvais plus vivre chez toi. Entretemps, c’est
le temps, le temps qui prend son temps. Trop longtemps prend le temps à
rester au présent… »
Et ainsi va la vie au Pavillon de la Petite Rivière, un centre d’hébergement
et de soins de longue durée (« CHSLD ») où plusieurs pensionnaires sont
là pour y terminer leur existence. Alzheimer, Parkinson, AVC, démence
mixte… des mots effrayants auxquels ils doivent tous apprendre à se
soumettre. Mais s’ils ont la mémoire à la dérive, ils ne sont pas pour
autant dépourvus de sentiments et, remplis de tristesse, ils ont tous
la féroce envie de dire à ce cher bon Dieu que son grand ciel bleu n’a
finalement rien de rose !
C’est avec compassion, tendresse et une touche d’humour que l’auteur
nous transporte dans un monde vivant presque en vase clos, là où
pourtant tous ont encore et toujours des choses à dire et de l’amour à
partager. Là où les membres du personnel tout comme les résidents et
leurs familles doivent impérativement savoir cohabiter dans la confiance
et le respect. L’amour, l’amitié, la survie et le deuil sont parmi les grands
thèmes abordés dans ce récit, tout comme le rôle rédempteur de l’art,
de l’écriture… et du bingo !
« Huit heures du matin, c’est l’heure du lever. Quelques instants après, c’est
le p’tit déjeuner. Lorsque tu as fini, on te fait ta toilette. Tu n’aimes pas
montrer ta maigre silhouette. Quand sonne le midi, on t’apporte à manger.
Pour toi, le préposé allume la télé. Tous les jours, c’est comm’ça, depuis
que tu es là. Depuis que tu ne pouvais plus vivre chez toi. Entretemps, c’est
le temps, le temps qui prend son temps. Trop longtemps prend le temps à
rester au présent… »
Et ainsi va la vie au Pavillon de la Petite Rivière, un centre d’hébergement
et de soins de longue durée (« CHSLD ») où plusieurs pensionnaires sont
là pour y terminer leur existence. Alzheimer, Parkinson, AVC, démence
mixte… des mots effrayants auxquels ils doivent tous apprendre à se
soumettre. Mais s’ils ont la mémoire à la dérive, ils ne sont pas pour
autant dépourvus de sentiments et, remplis de tristesse, ils ont tous
la féroce envie de dire à ce cher bon Dieu que son grand ciel bleu n’a
finalement rien de rose !
C’est avec compassion, tendresse et une touche d’humour que l’auteur
nous transporte dans un monde vivant presque en vase clos, là où
pourtant tous ont encore et toujours des choses à dire et de l’amour à
partager. Là où les membres du personnel tout comme les résidents et
leurs familles doivent impérativement savoir cohabiter dans la confiance
et le respect. L’amour, l’amitié, la survie et le deuil sont parmi les grands
thèmes abordés dans ce récit, tout comme le rôle rédempteur de l’art,
de l’écriture… et du bingo !
« Huit heures du matin, c’est l’heure du lever. Quelques instants après, c’est
le p’tit déjeuner. Lorsque tu as fini, on te fait ta toilette. Tu n’aimes pas
montrer ta maigre silhouette. Quand sonne le midi, on t’apporte à manger.
Pour toi, le préposé allume la télé. Tous les jours, c’est comm’ça, depuis
que tu es là. Depuis que tu ne pouvais plus vivre chez toi. Entretemps, c’est
le temps, le temps qui prend son temps. Trop longtemps prend le temps à
rester au présent… »
Et ainsi va la vie au Pavillon de la Petite Rivière, un centre d’hébergement
et de soins de longue durée (« CHSLD ») où plusieurs pensionnaires sont
là pour y terminer leur existence. Alzheimer, Parkinson, AVC, démence
mixte… des mots effrayants auxquels ils doivent tous apprendre à se
soumettre. Mais s’ils ont la mémoire à la dérive, ils ne sont pas pour
autant dépourvus de sentiments et, remplis de tristesse, ils ont tous
la féroce envie de dire à ce cher bon Dieu que son grand ciel bleu n’a
finalement rien de rose !
C’est avec compassion, tendresse et une touche d’humour que l’auteur
nous transporte dans un monde vivant presque en vase clos, là où
pourtant tous ont encore et toujours des choses à dire et de l’amour à
partager. Là où les membres du personnel tout comme les résidents et
leurs familles doivent impérativement savoir cohabiter dans la confiance
et le respect. L’amour, l’amitié, la survie et le deuil sont parmi les grands
thèmes abordés dans ce récit, tout comme le rôle rédempteur de l’art,
de l’écriture… et du bingo !