Les lumières clignotantes de la marquise, qui éclairaient depuis hier soir les mots « Férocement humaines à l’affiche », s’éteignent à l’instant, alors que celles, crues, de la salle se rallument, révélant les rangées de sièges vides au cœur d’un admirable vide existentiel. Et cela annonce un brutal et très attendu retour à la fiction..