En attendant Bojangles . Devant leur petit garçon, ils dansent sur « Mr. Bojangles » de Nina Simone. Chez eux, il n'y a de place que pour le plaisir et la fantaisie. Celle qui mène le bal, c'est la mère, feu follet imprévisible. Elle les entraîne dans un tourbillon de poésie pour que la fête continue, coûte que coûte. L'amour fou n'a jamais si bien porté son nom.. « C'est extravagant, c'est léger, c'est pétillant. Un coup de maître. »
François Busnel, La Grande Librairie (France 5). « D'une loufoquerie d'autant plus irrésistible quelle est intelligente et maîtrisée. Le lecteur est aussi de la fête. »
Bernard Pivot, Le Journal du dimanche. « Olivier Bourdeaut fait sourire les larmes et pleurer l'allégresse. Il mérite le succès qui va fondre sur cette fable extravagante et bouleversante. »
Jérôme Garcin, L'Obs. « Un capharnaüm joyeux et plein d'esprit, où l'on se délecte. »
Sandrine Mariette, Elle.