Bercée par l’ivresse grisante des amours naissantes, affolée par les vertiges inévitables qui les accompagnent, la narratrice traverse son lot de tourmentes et se relève aussi prestement que la dernière chute a été soudaine et fulgurante.
Dans un récit où la poésie fait écho à la prose, Le vacarme des possibles offre un portrait fragmenté de l’amour, qui laisse dans le sillage de ses déportations multiples autant de nostalgie que de lumière.. Embrasse-moi
comme si c’était la fin du monde
je prends de l’avance
pour le jour où tu me quitteras.