L'autre est partout dans l'oeuvre Jacqueline Harpman. L'autre moi, l'autre en moi, l'autre que moi. C'est aussi le lecteur avec lequel l'auteur s'amuse parfois. Dans ce rapport à l'autre, on est troublé par la récurrence de certaines structures et
de certains motifs- le mythe de l'androgyne, la maison, l'homosexualité, l'inceste...-qui éclairent le rapport de lécrivain avec son obsession inconsciente?-du retour à soi. Il semblerait que dans l'oeuvre de J. Harpman, ce soit l'autre qui
mène à "je".
L'autre est partout dans l'oeuvre Jacqueline Harpman. L'autre moi, l'autre en moi, l'autre que moi. C'est aussi le lecteur avec lequel l'auteur s'amuse parfois. Dans ce rapport à l'autre, on est troublé par la récurrence de certaines structures et
de certains motifs- le mythe de l'androgyne, la maison, l'homosexualité, l'inceste...-qui éclairent le rapport de lécrivain avec son obsession inconsciente?-du retour à soi. Il semblerait que dans l'oeuvre de J. Harpman, ce soit l'autre qui
mène à "je".