«Depuis longtemps, je ruminais l’idée de publier un livre à propos de l’UPAC. Puisque j’y ai travaillé et que j’ai été visé par le Projet A, j’ai plutôt décidé d’écrire à propos des gens qui ont dénoncé les mauvaises pratiques au sein de l’UPAC. Je savais que ce serait difficile, rien ne pouvait me laisser croire que concrétiser cette ambition allait s’avérer un si grand défi. J’étais une victime encore traumatisée par les actions de l’UPAC, j’ai eu besoin de temps et de la latitude nécessaire pour démystifier cette mascarade orchestrée, vulgariser et rendre publique cette enquête bidon. En voilà le résultat.».