Pour l'hellénisme, la domination ottomane commence par une catastrophe, la chute de Constantinople, et se termine par un drame plus définitif encore, le déracinement sans retour de trois mille ans de présence en Asie Mineure. Comment dans ces conditions envisager une histoire "dépassionnée " ? Les individus peuvent pardonner mais les peuples des Balkans n'ont pas la mémoire courte.
Pour l'hellénisme, la domination ottomane commence par une catastrophe, la chute de Constantinople, et se termine par un drame plus définitif encore, le déracinement sans retour de trois mille ans de présence en Asie Mineure. Comment dans ces conditions envisager une histoire "dépassionnée " ? Les individus peuvent pardonner mais les peuples des Balkans n'ont pas la mémoire courte.