Ecrire, témoigner de l'expérience criminelle la plus impensable est devenu un impératif, non pour comprendre, mais pour lui survivre et s'en libérer. Les témoignages se sont inscrits comme possibles expressions de l'indicible, pour que perdurent les données de l'histoire. Dans cette perspective, ils deviennent des gestes politiques, des actes de résistance. Il faut se remettre à penser, à transmettre, pour que la parole de l'humanité reste vivante et ne soit plus jamais réduite au silence.
Ecrire, témoigner de l'expérience criminelle la plus impensable est devenu un impératif, non pour comprendre, mais pour lui survivre et s'en libérer. Les témoignages se sont inscrits comme possibles expressions de l'indicible, pour que perdurent les données de l'histoire. Dans cette perspective, ils deviennent des gestes politiques, des actes de résistance. Il faut se remettre à penser, à transmettre, pour que la parole de l'humanité reste vivante et ne soit plus jamais réduite au silence.
Ecrire, témoigner de l'expérience criminelle la plus impensable est devenu un impératif, non pour comprendre, mais pour lui survivre et s'en libérer. Les témoignages se sont inscrits comme possibles expressions de l'indicible, pour que perdurent les données de l'histoire. Dans cette perspective, ils deviennent des gestes politiques, des actes de résistance. Il faut se remettre à penser, à transmettre, pour que la parole de l'humanité reste vivante et ne soit plus jamais réduite au silence.
Ecrire, témoigner de l'expérience criminelle la plus impensable est devenu un impératif, non pour comprendre, mais pour lui survivre et s'en libérer. Les témoignages se sont inscrits comme possibles expressions de l'indicible, pour que perdurent les données de l'histoire. Dans cette perspective, ils deviennent des gestes politiques, des actes de résistance. Il faut se remettre à penser, à transmettre, pour que la parole de l'humanité reste vivante et ne soit plus jamais réduite au silence.