Cette réflexion, nourrie des grands auteurs des XVIIe et XVIIIe siècles, a pour objet la vision, appréhendée comme modèle du vrai et du beau. Sont ainsi analysés la manière dont, à la Renaissance, la vision se sépare des autres sens, et les rapports qu'elle entretient dès lors avec eux, en particulier l'ouïe et le toucher. L'ouvrage se veut une sémantique, une esthétique et une éthique du corps qui voit.
Cette réflexion, nourrie des grands auteurs des XVIIe et XVIIIe siècles, a pour objet la vision, appréhendée comme modèle du vrai et du beau. Sont ainsi analysés la manière dont, à la Renaissance, la vision se sépare des autres sens, et les rapports qu'elle entretient dès lors avec eux, en particulier l'ouïe et le toucher. L'ouvrage se veut une sémantique, une esthétique et une éthique du corps qui voit.