La demande en thérapie a évolué de nos jours jusqu’à faire du chagrin d’amour ou de la difficulté d’aimer un motif de consultation. Les thèmes abordés ici sont : le rôle du thérapeute face à une fonction qui risque de mettre en cause la « neutralité bienveillante » traditionnellement recommandée, le poids de la société dans la définition des identités, le lien entre ce que nous pourrions prendre pour de nouveaux désordre amoureux et des pathologies masquées, les problèmes éthiques comme la procréation assistée, la responsabilité du soignant et le sens de l’amour…au regard de la position existentielle que représente la sophrologie.
La demande en thérapie a évolué de nos jours jusqu’à faire du chagrin d’amour ou de la difficulté d’aimer un motif de consultation. Les thèmes abordés ici sont : le rôle du thérapeute face à une fonction qui risque de mettre en cause la « neutralité bienveillante » traditionnellement recommandée, le poids de la société dans la définition des identités, le lien entre ce que nous pourrions prendre pour de nouveaux désordre amoureux et des pathologies masquées, les problèmes éthiques comme la procréation assistée, la responsabilité du soignant et le sens de l’amour…au regard de la position existentielle que représente la sophrologie.