Pour la première fois en langue française, cette traduction du Commentaire des douze livres de la Métaphysique d'Aristote rédigé par Thomas d'Aquin, veut être la transmission d'un relai, à l'heure où la pratique de la langue latine disparaît, même parmi les intellectuels. Thomas d'Aquin méconnaissait, semble-t-il, la langue grecque et dut, lui aussi, faire appel à des traductions pour son propre travail de commentaire.
Pour la première fois en langue française, cette traduction du Commentaire des douze livres de la Métaphysique d'Aristote rédigé par Thomas d'Aquin, veut être la transmission d'un relai, à l'heure où la pratique de la langue latine disparaît, même parmi les intellectuels. Thomas d'Aquin méconnaissait, semble-t-il, la langue grecque et dut, lui aussi, faire appel à des traductions pour son propre travail de commentaire.