Le capitalisme actuel paraît avoir perdu la lisibilité qui semblait le caractériser durant la période précédente au profit d'une diversité de configurations rassemblées derrière les termes de postfordisme, postindustrialisme ou de postmodernité. Ce "post" fonderait la prophétie d'une économie nouvelle (auto-entrepreunariat, travail à domicile, développement durable, responsabilité sociale des entreprises, etc.), dont l'originalité reste à interroger. L'enjeu de ce phénomène est-il la perpétuation du capitalisme par le renouvellement de son apparence externe et l'abandon de l'une de ses 1000 peaux.
Le capitalisme actuel paraît avoir perdu la lisibilité qui semblait le caractériser durant la période précédente au profit d'une diversité de configurations rassemblées derrière les termes de postfordisme, postindustrialisme ou de postmodernité. Ce "post" fonderait la prophétie d'une économie nouvelle (auto-entrepreunariat, travail à domicile, développement durable, responsabilité sociale des entreprises, etc.), dont l'originalité reste à interroger. L'enjeu de ce phénomène est-il la perpétuation du capitalisme par le renouvellement de son apparence externe et l'abandon de l'une de ses 1000 peaux.