L'auteur estime avoir apporté pendant un quart de siècle, avec passion, sa pierre à l'édification de son pays ; et avoir reçu pour ses bons et loyaux services le pire des salaires. Ainsi soit-il. De sa "retraite" forcée, il lui fallut s'armer de sa plume pour survivre. A partir de son vécu, Kassim Dembélé "célèbre", telles des fleurs de l'ombre, les turpitudes des hommes, vieilles comme le monde, mais qui resteront une source inépuisable d'inspiration.
L'auteur estime avoir apporté pendant un quart de siècle, avec passion, sa pierre à l'édification de son pays ; et avoir reçu pour ses bons et loyaux services le pire des salaires. Ainsi soit-il. De sa "retraite" forcée, il lui fallut s'armer de sa plume pour survivre. A partir de son vécu, Kassim Dembélé "célèbre", telles des fleurs de l'ombre, les turpitudes des hommes, vieilles comme le monde, mais qui resteront une source inépuisable d'inspiration.
L'auteur estime avoir apporté pendant un quart de siècle, avec passion, sa pierre à l'édification de son pays ; et avoir reçu pour ses bons et loyaux services le pire des salaires. Ainsi soit-il. De sa "retraite" forcée, il lui fallut s'armer de sa plume pour survivre. A partir de son vécu, Kassim Dembélé "célèbre", telles des fleurs de l'ombre, les turpitudes des hommes, vieilles comme le monde, mais qui resteront une source inépuisable d'inspiration.
L'auteur estime avoir apporté pendant un quart de siècle, avec passion, sa pierre à l'édification de son pays ; et avoir reçu pour ses bons et loyaux services le pire des salaires. Ainsi soit-il. De sa "retraite" forcée, il lui fallut s'armer de sa plume pour survivre. A partir de son vécu, Kassim Dembélé "célèbre", telles des fleurs de l'ombre, les turpitudes des hommes, vieilles comme le monde, mais qui resteront une source inépuisable d'inspiration.