Le dromadaire est trop souvent mal aimé, calomnié parce que mal connu. Au cours de ses sept années de vie saharienne, dans l'Ouest et au Hoggar, l'auteur a eu l'occasion et le temps d'étudier cet animal au cours de longue méharées dans des terrains différents. L'auteur, comme tous les méharistes et, en premier lieu, les nomades, était bien conscient que la survie dans le désert n'est possible que grâce à la remarquable adaptation de l'animal à cet habitat spécial.
Le dromadaire est trop souvent mal aimé, calomnié parce que mal connu. Au cours de ses sept années de vie saharienne, dans l'Ouest et au Hoggar, l'auteur a eu l'occasion et le temps d'étudier cet animal au cours de longue méharées dans des terrains différents. L'auteur, comme tous les méharistes et, en premier lieu, les nomades, était bien conscient que la survie dans le désert n'est possible que grâce à la remarquable adaptation de l'animal à cet habitat spécial.