Le poète allemand Ludwig Derleth (1870-1948) n'est le plus souvent cité que dans les études sur George ou Thomas Mann, inspiré de cette figure pour des personnages de ses romans. Après une jeunesse ardente, Derleth finira par se consacrer entièrement à son oeuvre monumentale restée inachevée : le Coran franc. Dans cette poésie autant « baroque » et « dionysienne » que chrétienne, le dire poétique retrouve, au-delà de toute limitation dogmatique, une puissante universalité.
Le poète allemand Ludwig Derleth (1870-1948) n'est le plus souvent cité que dans les études sur George ou Thomas Mann, inspiré de cette figure pour des personnages de ses romans. Après une jeunesse ardente, Derleth finira par se consacrer entièrement à son oeuvre monumentale restée inachevée : le Coran franc. Dans cette poésie autant « baroque » et « dionysienne » que chrétienne, le dire poétique retrouve, au-delà de toute limitation dogmatique, une puissante universalité.