La "poétique sémiophone" est avant tout une exploration de la perception du langage à travers un de ses traits les plus spécifiques : son versant sonore. Ce n'est pas tant dans une analyse des enregistrements sélectionnés que dans une expérience brute de la parole comme objet singulier que l'on a pu révéler, du langage, ce qui semble le sculpter de l'intérieur et dégager ainsi dix-neuf "figures sonores". S'il est fait ici une large part à la sémiotique greimassienne dans la mesure où elle permet d'ébaucher une taxinomie, c'est toutefois en s'appuyant sur les écrits de Adorno, Barthes, Jakobson, Benjamin ou Foucault que l'on a pu véritablement donner forme à ce récit transdisciplinaire sur la modernité littéraire et musicale.
La "poétique sémiophone" est avant tout une exploration de la perception du langage à travers un de ses traits les plus spécifiques : son versant sonore. Ce n'est pas tant dans une analyse des enregistrements sélectionnés que dans une expérience brute de la parole comme objet singulier que l'on a pu révéler, du langage, ce qui semble le sculpter de l'intérieur et dégager ainsi dix-neuf "figures sonores". S'il est fait ici une large part à la sémiotique greimassienne dans la mesure où elle permet d'ébaucher une taxinomie, c'est toutefois en s'appuyant sur les écrits de Adorno, Barthes, Jakobson, Benjamin ou Foucault que l'on a pu véritablement donner forme à ce récit transdisciplinaire sur la modernité littéraire et musicale.