« Comme moi, plusieurs dizaines de femmes ont cru que l'époque rendait caduque notre condamnation au silence et possible celle de notre agresseur, l'un des hommes les plus connus, de France.. Ce n'est pas ce qu'il s'est passé. Nous avons été classées sans suite. Mais nos bulles de solitude ont éclaté. Nous nous sommes rencontrées, racontées, soutenues. Nous avons parlé plus haut, plus nombreuses, unies contre la forteresse de l'impunité. ».