Les poèmes d'Eva Diamantstein - pierre de Diamant - sont en effet matière de miroir. Ce miroir rend image et son du "chant d'enfant", du dangereux Kinderlied. Mais aussi des hommes d'air, "joués en fumée", des fours noirs où "nous sautons". Du dialogue de la lame et du tranchant. Guerriers perdant la lutte. Car "nous nous sommes réveillés dans des lits étrangers". Or, le réveil de Diamantstein nous mène à cette "rupture d'espace" qui est poésie même. Dans la violence de ce "repas de nuit" qu'elle a préparé pour la scène des "forfaiteuses".
Les poèmes d'Eva Diamantstein - pierre de Diamant - sont en effet matière de miroir. Ce miroir rend image et son du "chant d'enfant", du dangereux Kinderlied. Mais aussi des hommes d'air, "joués en fumée", des fours noirs où "nous sautons". Du dialogue de la lame et du tranchant. Guerriers perdant la lutte. Car "nous nous sommes réveillés dans des lits étrangers". Or, le réveil de Diamantstein nous mène à cette "rupture d'espace" qui est poésie même. Dans la violence de ce "repas de nuit" qu'elle a préparé pour la scène des "forfaiteuses".