Ce qu'il y a d'étonnant dans les travaux de Hafedh Djedidi, à la fois poète, romancier et homme de théâtre, c'est non seulement ce souffle poétique qui imprègne toutes ses créations, mais aussi cette richesse des débats qu'il leur confie. Dans sa dernière création "Les Vents de la nostalgie", le lecteur-spectateur, souvent médusé par le lieu constant, ménagé par l'auteur-metteur en scène, entre les transmutations de l'espace et les atmosphères suggérées, finit par adhérer viscéralement à la fable de la pièce.
Ce qu'il y a d'étonnant dans les travaux de Hafedh Djedidi, à la fois poète, romancier et homme de théâtre, c'est non seulement ce souffle poétique qui imprègne toutes ses créations, mais aussi cette richesse des débats qu'il leur confie. Dans sa dernière création "Les Vents de la nostalgie", le lecteur-spectateur, souvent médusé par le lieu constant, ménagé par l'auteur-metteur en scène, entre les transmutations de l'espace et les atmosphères suggérées, finit par adhérer viscéralement à la fable de la pièce.