Malgré son silence sur le parti unique et sur certains événements politiques, même s'il prit moins de risques que Mgr Raymond-Marie Tchidimbo (Guinée) ou le cardinal Joseph Malula (RDC), le cardinal Bernard Yago eut une réelle liberté de ton vis-à-vis du pouvoir politique. Un pouvoir pour lequel il priait constamment afin qu'il s'exerce selon le droit et la justice mais qui était loin de l'intéresser personnellement car, pour lui, l'essentiel était de proclamer la Parole de Dieu. Pour cela il était nécessaire que lui-même et l'Eglise catholique soient libres vis-à-vis du pouvoir politique.
Malgré son silence sur le parti unique et sur certains événements politiques, même s'il prit moins de risques que Mgr Raymond-Marie Tchidimbo (Guinée) ou le cardinal Joseph Malula (RDC), le cardinal Bernard Yago eut une réelle liberté de ton vis-à-vis du pouvoir politique. Un pouvoir pour lequel il priait constamment afin qu'il s'exerce selon le droit et la justice mais qui était loin de l'intéresser personnellement car, pour lui, l'essentiel était de proclamer la Parole de Dieu. Pour cela il était nécessaire que lui-même et l'Eglise catholique soient libres vis-à-vis du pouvoir politique.
Malgré son silence sur le parti unique et sur certains événements politiques, même s'il prit moins de risques que Mgr Raymond-Marie Tchidimbo (Guinée) ou le cardinal Joseph Malula (RDC), le cardinal Bernard Yago eut une réelle liberté de ton vis-à-vis du pouvoir politique. Un pouvoir pour lequel il priait constamment afin qu'il s'exerce selon le droit et la justice mais qui était loin de l'intéresser personnellement car, pour lui, l'essentiel était de proclamer la Parole de Dieu. Pour cela il était nécessaire que lui-même et l'Eglise catholique soient libres vis-à-vis du pouvoir politique.
Malgré son silence sur le parti unique et sur certains événements politiques, même s'il prit moins de risques que Mgr Raymond-Marie Tchidimbo (Guinée) ou le cardinal Joseph Malula (RDC), le cardinal Bernard Yago eut une réelle liberté de ton vis-à-vis du pouvoir politique. Un pouvoir pour lequel il priait constamment afin qu'il s'exerce selon le droit et la justice mais qui était loin de l'intéresser personnellement car, pour lui, l'essentiel était de proclamer la Parole de Dieu. Pour cela il était nécessaire que lui-même et l'Eglise catholique soient libres vis-à-vis du pouvoir politique.