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ISBN9782894855126
ÉditeurMICHEL BRÛLÉ
Format-
Section-
Parution1900-01-01
Collection-

Anna braillé ène shot

Par Dor, Georges

  • 9,99$ /unité
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No. fourn.
Format En stock Quantité
(9782894855126)
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Description

Pour ou contre le joual ? Existe-t-il une parlure proprement québécoise ? Est-ce renier la langue de nos pères et de nos mères que de revendiquer une certaine qualité de la langue parlée, ici au Québec ? Plus de cinquante ans après Les insolences du frère Untel, Georges Dor se penche ici sur la question. Comment exprimer clairement une idée ? Comment communiquer efficacement avec l’autre, si on ne peut le faire qu’à travers des approximations, des balbutiements, des tournures de phrases acrobatiques, ce que l’auteur appelle notre « magma d’expressions confuses, de mots tronqués et marmonnés », ce dérivé souvent incompréhensible de la langue française ? Dans cet ouvrage, Georges Dor relance le débat, conscient de ce qu’il peut rouvrir des blessures anciennes ou réanimer de vieux démons. Mais c’est à ce prix qu’il faut avancer, si nous voulons un jour remplacer le « Chu » par un « Je suis » non équivoque, et voir figurer le Québec parmi le concert des nations.

Pour ou contre le joual ? Existe-t-il une parlure proprement québécoise ? Est-ce renier la langue de nos pères et de nos mères que de revendiquer une certaine qualité de la langue parlée, ici au Québec ? Plus de cinquante ans après Les insolences du frère Untel, Georges Dor se penche ici sur la question. Comment exprimer clairement une idée ? Comment communiquer efficacement avec l’autre, si on ne peut le faire qu’à travers des approximations, des balbutiements, des tournures de phrases acrobatiques, ce que l’auteur appelle notre « magma d’expressions confuses, de mots tronqués et marmonnés », ce dérivé souvent incompréhensible de la langue française ? Dans cet ouvrage, Georges Dor relance le débat, conscient de ce qu’il peut rouvrir des blessures anciennes ou réanimer de vieux démons. Mais c’est à ce prix qu’il faut avancer, si nous voulons un jour remplacer le « Chu » par un « Je suis » non équivoque, et voir figurer le Québec parmi le concert des nations.