La psychocriminologie contribue à de nouvelles représentations du droit pénal, permettant de repenser la peine avec une nouvelle rationalité qui fait une place grandissante à la subjectivité. Le passage notionnel de l'individualisation à la personnalisation de la peine opéré par le Code pénal de 1994 en constitue l'exemple le plus illustratif. L'approche psychocriminologique révèle qu'il n'est plus possible en droit pénal positif de faire l'économie de l'étude des multiples interactions (entre intervenants judiciaires) traduisant toute la complexité de l'acte de juger. Dans ce cadre, la peine prononcée tendra à plus d'intelligibilité.
La psychocriminologie contribue à de nouvelles représentations du droit pénal, permettant de repenser la peine avec une nouvelle rationalité qui fait une place grandissante à la subjectivité. Le passage notionnel de l'individualisation à la personnalisation de la peine opéré par le Code pénal de 1994 en constitue l'exemple le plus illustratif. L'approche psychocriminologique révèle qu'il n'est plus possible en droit pénal positif de faire l'économie de l'étude des multiples interactions (entre intervenants judiciaires) traduisant toute la complexité de l'acte de juger. Dans ce cadre, la peine prononcée tendra à plus d'intelligibilité.