Jeanne d'Arc a été brûlée vivante - le supplice qu'elle redoutait le plus - parce qu'elle l'a voulu. Pour assurer le triomphe de l'absolu, elle a renié son premier reniement et a choisi de mourir. Au cours des siècles, les uns ont retenu l'absolu (Dieu), les autres le relatif (la pointe de la lance), d'autres encore les deux ensemble mais non sans contradictions, comme Jeanne elle-même.
Jeanne d'Arc a été brûlée vivante - le supplice qu'elle redoutait le plus - parce qu'elle l'a voulu. Pour assurer le triomphe de l'absolu, elle a renié son premier reniement et a choisi de mourir. Au cours des siècles, les uns ont retenu l'absolu (Dieu), les autres le relatif (la pointe de la lance), d'autres encore les deux ensemble mais non sans contradictions, comme Jeanne elle-même.