L'histoire du mouvement étudiant algérien se lit comme la chronique d'une répression achevée. Il y a trente et un an, le 15 janvier 1971, le pouvoir algérien mettait fin à l'expérience du syndicalisme étudiant. L'Algérie est à l'heure des mouvements sociaux. Dans un pays où l'enjeu politique institutionnalisé (pouvoir-opposition) impose à chacun son rôle dans la passivité généralisée, il faut porter l'histoire à la critique publique. Puissent ces matériaux de réflexion infléchir notre lutte dans le sens d'un attachement au combat pour la démocratie.
L'histoire du mouvement étudiant algérien se lit comme la chronique d'une répression achevée. Il y a trente et un an, le 15 janvier 1971, le pouvoir algérien mettait fin à l'expérience du syndicalisme étudiant. L'Algérie est à l'heure des mouvements sociaux. Dans un pays où l'enjeu politique institutionnalisé (pouvoir-opposition) impose à chacun son rôle dans la passivité généralisée, il faut porter l'histoire à la critique publique. Puissent ces matériaux de réflexion infléchir notre lutte dans le sens d'un attachement au combat pour la démocratie.