En toute société humaine, certains vivent seuls. Parfois cet écart fut choisi : du poète ou de l'artiste, du misanthrope ou de l'ermite ; plus souvent a-t-il été imposé, tel celui que suscitent certaines professions, la discrimination et l'enfermement, ou plus ordinairement l'absence d'un être cher. Observe-t-on entre ces "solitaires" un état d'esprit voisin, un mode d'existence comparable ?
En toute société humaine, certains vivent seuls. Parfois cet écart fut choisi : du poète ou de l'artiste, du misanthrope ou de l'ermite ; plus souvent a-t-il été imposé, tel celui que suscitent certaines professions, la discrimination et l'enfermement, ou plus ordinairement l'absence d'un être cher. Observe-t-on entre ces "solitaires" un état d'esprit voisin, un mode d'existence comparable ?