L'auteur s'appuie sur la dichotomie insurrection contre insurrection pour examiner la conjoncture présente de la question sahraouie. Pour ce faire, il tente de saisir les motivations politiques et économiques d'autres acteurs régionaux, et réfute les analyses qui réduisent les revendications des sahraouis à un "litige" algéro-marocain. Pour lui, les anciennes considérations géostratégiques réapparaissent à nouveau, telles la position de la France et la primauté de la Méditerranée sur celle du Sahara occidental.
L'auteur s'appuie sur la dichotomie insurrection contre insurrection pour examiner la conjoncture présente de la question sahraouie. Pour ce faire, il tente de saisir les motivations politiques et économiques d'autres acteurs régionaux, et réfute les analyses qui réduisent les revendications des sahraouis à un "litige" algéro-marocain. Pour lui, les anciennes considérations géostratégiques réapparaissent à nouveau, telles la position de la France et la primauté de la Méditerranée sur celle du Sahara occidental.