A partir de 1950, les écrivains ont établi avec la psychanalyse de nouvelles relations. Ainsi est apparue une littérature " après Freud ", interdite d'innocence, dont les modes sont multiples. Chez Sartre, Althusser et Anzieu, l'écriture laisse entendre une autre parole que celle du concept ; pour Doubrovsky, Bauchau et Fernandez, le texte vient " mettre fin " à la cure et suturer la blessure ; enfin, chez Robbe-Grillet et Perec, la fascination pour les profondeurs du moi finit par subvertir l'attirance affichée pour la surface des choses.
A partir de 1950, les écrivains ont établi avec la psychanalyse de nouvelles relations. Ainsi est apparue une littérature " après Freud ", interdite d'innocence, dont les modes sont multiples. Chez Sartre, Althusser et Anzieu, l'écriture laisse entendre une autre parole que celle du concept ; pour Doubrovsky, Bauchau et Fernandez, le texte vient " mettre fin " à la cure et suturer la blessure ; enfin, chez Robbe-Grillet et Perec, la fascination pour les profondeurs du moi finit par subvertir l'attirance affichée pour la surface des choses.